Le Retable de Sant Ermengol, du 2 au 10 août et avec une nouvelle scène "surprise" Du 2 au 10 août, le cloître de la cathédrale de Santa Maria sera de nouveau le décor du Retable de Sant Ermengol. La 48 e édition. Qu'il se dirige vers cinquante éditions tout en se renouvelant, comme c'est la norme dans la « chose vivante » qu'il est, a rappelé le directeur du montage, Xavier Piguillem, donc cette année une nouvelle scène est introduite. Sera, cependant, une surprise jusqu'au jour de la première, a décidé Piguillem, qui se borne à donner un indice très peu clarifiant : "Ce sera un fait très particulier de la vie de l'évêque, et quelque chose de très difficile à faire à ces moments-là", se contente-t-il dit, parce que nous y pensons.

Le Retable de Sant Ermengol, du 2 au 10 août et avec une nouvelle scène «surprise»

Le Retable de Sant Ermengol, du 2 au 10 août et avec une nouvelle scène «surprise»

Du 2 au 10 août, le cloître de la cathédrale de Santa Maria sera de nouveau le décor du Retable de Sant Ermengol. La 48 e édition. Qu’il se dirige vers cinquante éditions tout en se renouvelant, comme c’est la norme dans la « chose vivante » qu’il est, a rappelé le directeur du montage, Xavier Piguillem, donc cette année une nouvelle scène est introduite. Sera, cependant, une surprise jusqu’au jour de la première, a décidé Piguillem, qui se borne à donner un indice très peu clarifiant : «Ce sera un fait très particulier de la vie de l’évêque, et quelque chose de très difficile à faire à ces moments-là», se contente-t-il dit, parce que nous y pensons.

Le Retable de Sant Ermengol, du 2 au 10 août et avec une nouvelle scène "surprise" Du 2 au 10 août, le cloître de la cathédrale de Santa Maria sera de nouveau le décor du Retable de Sant Ermengol. La 48 e édition. Qu'il se dirige vers cinquante éditions tout en se renouvelant, comme c'est la norme dans la « chose vivante » qu'il est, a rappelé le directeur du montage, Xavier Piguillem, donc cette année une nouvelle scène est introduite. Sera, cependant, une surprise jusqu'au jour de la première, a décidé Piguillem, qui se borne à donner un indice très peu clarifiant : "Ce sera un fait très particulier de la vie de l'évêque, et quelque chose de très difficile à faire à ces moments-là", se contente-t-il dit, parce que nous y pensons.

Ce sera la 48ᵉ édition, nous l’avons dit, même si c’était il y a longtemps, en 2007, que la représentation a dépassé un demi-siècle d’existence, a rappelé l’un des participants (ou participants) les plus vétérans à la présentation de l’événement. , Xavier Galindo. Il a été libéré, se souvenait-il avec précision, un lundi 5 août 1957. Depuis lors, il y a eu des périodes blanches, comme la décennie de 1975 à 1985 : au milieu, dès 1970, on pensait que l’œuvre écrite par Estève Albert « avait déjà rempli sa mission ». Heureusement, la vision a changé et quelques années plus tard, le Retable était de retour sur les rails. Rénové de fond en comble : même les anciens costumes conçus par Cirici Pellicer n’ont pas pu être retrouvés, rappelle Galindo.

El Retaule, c’est donc «l’Histoire du Quartier Général», a insisté Piguillem, une fois de plus à la tête de l’équipe de bénévoles – de soixante-dix à quatre-vingts personnes par édition – qui sont nécessaires pour démarrer tout le matos et maintenir les huit prévus performances. La semaine précédente, ils effectuent les répétitions, s’organisant au mieux avec les horaires, « y consacrant dans certains cas une partie du temps des vacances », remercie le directeur de production, qui invite tout le monde à venir, et pas seulement en tant que spectateurs, « même pas pour une seule journée, effectivement, s’ils essaient ils recommenceront ».

Il y aura aussi des nouveautés dans la partie musicale de cette édition de performances qui, de plus en plus, a souligné Piguillem, «elles changent le tempérament retable initial vers une œuvre plus théâtrale, dans le meilleur sens du terme». Le Retable, a conclu Joan Barrera, maire de La Seu et lui-même acteur de l’œuvre à certaines occasions, «a un passé, un présent et beaucoup d’avenir » Pour autant, a-t-il prévenu, la ville n’aura guère le plaisir de voir la cinquantième édition dans une cathédrale déclarée site du patrimoine mondial : les délais sont trop justes et l’attendre serait « trop audacieux ».

 

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