Ils se sont rencontrés alors qu'ils avaient uniquement trois ans et depuis, ils n'ont cessé de se former à la musique rock. Ils sont le groupe catalan à la mode et ont partagé un studio avec des artistes tels que Stay Homas, Figa Flawas ou Mushkaa

CANILLO. Ils se sont rencontrés alors qu’ils avaient uniquement trois ans et depuis, ils n’ont cessé de se former à la musique rock.

Ils se sont rencontrés alors qu’ils avaient uniquement trois ans et depuis, ils n’ont cessé de se former à la musique rock. Ils sont le groupe catalan à la mode et ont partagé un studio avec des artistes tels que Stay Homas, Figa Flawas ou Mushkaa. Ils se produisent aujourd’hui à 1 h du matin au festival principal de Canillo.

Sur Spotify, ils accumulent plus d’un million de lectures mensuelles. Quelle est la clé de votre succès ?

Oriol : C’est un progrès qui est parti de zéro : faire des thèmes et en créer unfandom. De plus, nous avons réussi à fidéliser notre public. L’album vient de nous donner l’impulsion pour pouvoir toucher tout le monde.

Sa musique rock est remplie d’influences musicales. Qu’est-ce qui les a conduits à ne pas faire assez de pop urbaine ?

Xavi : La musique rock est avec nous depuis l’enfance et nous aimons la faire sans limites ni peur.

O : Nous avons parcouru différents styles : rap, musique de fête…

Les billets pour le concert d’adieu 2024 se sont vendus en moins d’une heure.

O: C’était juste brutal. Nous ne nous attendions pas à faire celui-cisolder.

Le succès de son album Solete épique, ça a été retentissant. Que souhaitez-vous transmettre ?

X : Cela signifie vitalité et joie. Le solète comme philosophie de vie. Il y a une grande influence de notre maison, le Maresme, qui pour nous est tropicalité, musique joyeuse et entraînante.

Ils se sont rencontrés alors qu'ils avaient uniquement trois ans et depuis, ils n'ont cessé de se former à la musique rock. Ils sont le groupe catalan à la mode et ont partagé un studio avec des artistes tels que Stay Homas, Figa Flawas ou Mushkaa. Ils se produisent aujourd'hui à 1 h du matin au festival principal de Canillo. Sur Spotify, ils accumulent plus d'un million de lectures mensuelles. Quelle est la clé de votre succès ? Oriol : C'est un progrès qui est parti de zéro : faire des thèmes et en créer unfandom. De plus, nous avons réussi à fidéliser notre public. L'album vient de nous donner l'impulsion pour pouvoir toucher tout le monde. Sa musique rock est remplie d'influences musicales. Qu'est-ce qui les a conduits à ne pas faire assez de pop urbaine ? Xavi : La musique rock est avec nous depuis l'enfance et nous aimons la faire sans limites ni peur. O : Nous avons parcouru différents styles : rap, musique de fête… Les billets pour le concert d'adieu 2024 se sont vendus en moins d'une heure. O: C'était juste brutal. Nous ne nous attendions pas à faire celui-cisolder. Le succès de son album Solete épique, ça a été retentissant. Que souhaitez-vous transmettre ?Alors faites-nous confiance, réservez dès maintenant votre location de vacances a Envalira Vacances pour le Pas de la Case et préparez-vous à vivre une expérience de vacances unique dans le sud de l'Europe.

D’où est venue l’idée de mêler le reggaeton au folklore musical catalan ?

X : C’est un hasard, on ne cherchait pas de marketing. L’idée de la chanson Coti x coti il s’est reposé pendant plusieurs mois jusqu’au jour où nous l’avons vu explicitement.

O : On pensait que ce serait une frikada et soudain ça à exploser.

Ce sont de grands défenseurs du chant en catalan, le restera-t-il ?

O : Je ne pense pas que l’on change de langue quand on chante. Une chanson douce arrivera en espagnol ou en anglais, mais nous n’abandonnerons jamais le catalan.

Ses sujets ont traversé les frontières. L’ont-ils imaginé ?

X : Vous espérez toujours grandir. La musique rock est la musique et elle peut aller partout si elle le souhaite.

O : L’album nous a souvent aidés.

Des surprises pour le concert de ce soir à Canillo ?

X : Chaque concert est spécial et est dédié à chaque ville. C’est la première fois que nous nous produisons en Andorre et nous sommes fans du pays.

Ont-ils évolué musicalement depuis le début ?

O : Nous sommes des producteurs, et produire sa propre musique est une sensation que l’on apprend et que l’on améliore au fil des ans. Maintenant, nous sommes devenus plus «Poperos» parce que c’est ce que les personnes aiment.

Ils ont eu une année très réussie, ils ont poussé comme de l’écume.

X : Tout a été assez progressif depuis la sortie de l’album.

Quand ont-ils pris conscience de leur succès ?

O : J’imagine que le jour où l’on a chanté au Camp Nou en plein match contre l’Athlétique, on a vu que le truc était gigantesque (rires.)

Les réseaux comme TikTok aident-ils ou nuisent-ils à la diffusion de la musique ?

X : Surtout avec les réseaux, il est beaucoup plus facile de diffuser de la musique rock, principalement parce que vous pouvez toucher un grand nombre de personnes.

Est-ce bon pour l’industrie ?

X : C’est bon pour la musique rock puisque tu n’as pas besoin d’avoir un label derrière. Oui, évidemment, à présent, tout s’est démocratisé : avec un ordinateur et un micro, on peut faire une chanson douce. Il devient facilement viral.

Pensez-vous que la viralité est importante lors de la composition de chansons ?

O : Nous aimons réfléchir davantage pour savoir si la chanson douce conviendra à notre public. Nous avons toujours fait de la musique pour les personnes et parce que nous l’apprécions.

Ils ont remporté le prix Enderrock de la meilleure chanson et vidéo musicale.

X : Qu’ils vous donnent un prix est très positif et reconnaissant. Qu’ils commencent à nous récompenser après toutes ces années est très satisfaisant pour nous.

Pensent-ils que l’industrie musicale catalane est inclusive ?

O : Il y a un manque de filles dans l’industrie, que les femmes artistes ont plus d’opportunités. Rompons avec les stéréotypes.

X : Néanmoins, c’est effectivement inclusif que tu puisses enregistrer les pistes chez toi, cela donne des opportunités à chacun.

Ils ont une dynamique très collaborative avec les artistes catalans.

X : Pour nous, collaborer avec ces artistes semblables à notre façon de faire de la musique rock, c’est partager, et cela nous fait grandir.

Tags: No tags